Ce que j’ai devant moi



Ce que j’ai devant moi, sur ma table, depuis huit jours ? Un perroquet empaillé. Il y reste à poste fixe. Sa vue commence même à m’embêter. Mais je le garde, pour m’emplir la cervelle de l’idée de perroquet. Car j’écris présentement les amours d’une vieille fille et d’un perroquet ».


Gustave Flaubert, Lettre à Mme Brainne, 28 juillet 1876.

Commentaires

ce mois ci... vous avez beauocu lu