La vallée, c'est le vide qui répond.


La vallée, c'est le vide qui répond.
Gu Mensheng in le chemin du souffle

[...]
Ainsi cet esprit de la vallée est indiscernable, continu, sans interruption : il dépasse la notion du temps. Il n'existe pas, mais semble exister : il dépasse la notion d'espace. Les manifestations de ce principe subtil, des énergies sonores sortant de ce vide sonore, fécond, infiniment agiles et sensibles, sont cependant inépuisables comme l'air jaillissant du soufflet.
chapitre 5 du Daode jing, Laotzi

Commentaires

ce mois ci... vous avez beauocu lu