Pour celui qui vagabonde

Pour celui qui vagabonde, emporté par le dao et le de, il en est autrement, car il ne connaît plus ni les éloges, ni les blâmes. Quand en dragon, quand en serpent, il se métamorphose, il est en parfait accord avec le temps en ne consentant pas à se spécialiser. Tantôt il s'élève, tantôt il s'abaisse en s'adaptant aux rythmes naturels. Il s'ébat à l'origine des choses. Celles-ci sont pour lui des choses. Il n'est pas une chose pour les choses. Aussi, comment pourrait-il connaître des embarras ?
Chapitre 20 du Zhuangzi

Commentaires

ce mois ci... vous avez beauocu lu