L’aveu

Ce n’est pas toi, ce sont les peuples de ton âme
Qui savent qui tu es, ce sont les foules du
Tumultueux silence au fond d’un cœur mourant
Qui savent ce qui vit, le pourquoi, le comment
De tout amour permis, parce qu’il est aimé
Par une liberté plus grande et plus certaine.
L’intelligence ne connaît que ce qui meurt :
Jamais son œil ne glisse un regard au-delà
De sa propre limite ; et il parle bien trop
Pour écouter ce qui lui parle de plus haut.

Armel Guerne

Commentaires

ce mois ci... vous avez beauocu lu