in ihren toten Füßen blieb noch jene Tanzlust
En apprenant qu'Albrecht qu'elle aime, est le noble fiancé d'une princesse, Giselle, une paysanne, perd la raison et meurt. En fait il s'agit du duc de Silésie, fiancé à la fille du duc de Courlande. La Reine des Willis - esprits de jeunes filles mortes vierges, le jour de leur mariage, qui peuvent revenir mais doivent disparaître à la coupure de l'aube -, décide qu'Albrecht doit mourir. Il est condamné à danser jusqu'à la mort mais l'esprit de Giselle, en dansant avec lui, arrive à le sauver.
Pour le ballet clasique, le livret est de théophile Gauthier
Pour le ballet clasique, le livret est de théophile Gauthier
Quant aux Willis
« ...In einem Teile Östreichs gibt es eine Sage, die mit den vorhergehenden eine gewisse Ähnlichkeit bietet, obgleich sie ursprünglich slawisch ist. Es ist die Sage von den gespenstischen Tänzerinnen, die dort unter dem Namen »die Willis« bekannt sind. Die Willis sind Bräute, die vor der Hochzeit gestorben sind. Die armen jungen Geschöpfe können nicht im Grabe ruhig liegen, in ihren toten Herzen, in ihren toten Füßen blieb noch jene Tanzlust, die sie im Leben nicht befriedigen konnten, und um Mitternacht steigen sie hervor, versammeln sich truppenweis an den Heerstraßen, und wehe dem jungen Menschen, der ihnen da begegnet!... ».
Heinrich Heine in Über Deutschland
« ...Dans une partie de l'Autriche, il y a une légende qui offre certaines similitudes avec les antérieures, bien que celle-ci soit d'une origine slave. C'est la légende des danseuses effrayantes connues là sous le nom de "Willis". Les Willis sont fiancées qui sont mortes avant la noce, pauvres jeunes filles qui ne peuvent pas rester silencieuses dans la tombe. Dans ses coeurs morts, dans ses pieds morts reste encore le désir de la danse qu'elles n’ont pas pu satisfaire pendant leur vie, elles se lèvent à minuit formant des groupes par les rues et attaquant les jeunes hommes qu’elles y trouvent... »
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