Je dois dire


























Je dois dire qu'il m'a énormément plu. Effectivement, il est terriblement nerveux. Il tournait en rond dans la pièce, comme une bête sauvage. Il n'y a en lui que de l'oxygène et on se brûle quand on l'approche.
Alma à propos de Mahler dans son journal

Commentaires

ce mois ci... vous avez beauocu lu