Armure du matin
Armure du matin.
Je ne sors plus
de moi. Je traverse
mes lèvres
sans voir que le soleil
déchire l’air
les murs.
J’invente des couloirs
où le froid s’accumule
courbe
jusqu’à ce cri.
Claude Esteban
Je ne sors plus
de moi. Je traverse
mes lèvres
sans voir que le soleil
déchire l’air
les murs.
J’invente des couloirs
où le froid s’accumule
courbe
jusqu’à ce cri.
Claude Esteban
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